---

○ Prénom(s) Il paraît que mon prénom est un dérivé de caesarius, qui signifierait chevelure. Heureusement, mes parents ne m'ont pas appelés comme Caesar pour cette raison. Etant leur premier enfant ils m'ont nommés ainsi en faisant référence au célèbre Jules César. Auraient-ils aimés que je devienne comme lui? Un chef? Surement. En suis-je capable? Surement pas. ○ Nom Il est difficile de ne pas connaître ou au moins avoir entendu parler d'un membre de la famille Palmer. Tout simplement parce que notre nom est connu grâce à nos parents, ayant réussi professionnellement. Mais aussi car il a fait la une de certains journaux, à cause de moi en l'occurrence. De plus, nous sommes assez nombreux. 4 enfants Palmer, uniques, chacun à sa façon. Difficile de nous rater. ○ Âge 30 longues années d'existence me suffisent amplement pour savoir que la vie ne ressemble jamais à ce qu'on veut qu'elle devienne. Date de naissance 07 juin 1983 ○ Lieu de naissance Brighton, ANGLETERRE. ○ Nationalité Purement anglais. ○ Origines Je ne me suis jamais intéressé à mes origines. Je me fou d'avoir une tête d'anglais, de français, de chinois ou d'abruti. ○ Etat civil Veuf. ○ Orientation sexuelle Les garçons ne m'ont jamais attirés, on va dire que c'est pas mon truc. Le corps féminin et la fragilité parfois trompeuse des femmes sont mes pêchés mignons. ○ Etudes effectuées J'ai abandonné de longues études de droit pour devenir flic, il y a de cela quelques années déjà. ○ Job J'ai récemment fait mon retour en tant que flic. Statut financier Depuis que papa et maman ne m'aident plus, on va juste dire que je me démerde comme je peux. ○ Opinion(s) politique(s) Ça ne devrait surement pas être ainsi, mais la politique est le dernier de mes soucis. ○ Permis de conduire Bien sûr.

A été accusé à tord d'être le meurtrier de sa propre femme. ~ Cette dernière a été assassinée chez eux, alors qu'ils venaient de s'engueuler et que, sous la colère, Caesar était parti. ~ Toutes les preuves étaient contre lui, il a donc été condamné à plusieurs années de prison. ~ Il n'en a fait que deux puisque les policiers ont finalement trouvé le vrai coupable. ~ Caesar est sorti de prison il y a un an et a énormément changé. ~ Rien que le fait que certaines personnes comme sa famille, puissent douter de son innocence et du fait qu'il ait pu tuer quelqu'un, le dégoutte. ~ Il n'a d'ailleurs plus aucune nouvelle de ses parents et n'a pas vu la couleur de leur argent depuis un bail. ~ Son affaire a été la proie d'une polémique mouvementée. Certaines personnes n'ayant pourtant rien à voir dans cette histoire, ont prit parties en prétendant être contre l'innocence de Caesar ou pour. ~ Depuis qu'il est revenu, il a énormément changé. Sage, mature, renfermé, protecteur, s'énerve peu mais fait énormément de dégâts lorsqu'il l'est, intelligent, malin, peu sociable, froid, méfiant, courageux, réfléchi. ~ Il n'aime pas le regard que les gens portent sur lui. La pitié, le doute sur sa culpabilité, la compassion... Il a beaucoup de mal à se ré-intégrer dans la société. ~ Il déteste rester à rien faire. Quand il n'a rien à faire il s'occupe en courant, et en faisant du sport. 

1) LE WHISKY

En prison, ils n'ont pas de whisky et il n'y a aucun moyen pour s'en procurer. J'aimais déjà beaucoup cet alcool avant, ma femme avait tendance à me le reprocher. Mais étrangement, la première chose que j'ai faite en sortant de taule, c'est aller au bar du coin pour m'en commander un. Depuis, il m'est impossible de passer une soirée sans boire un verre de whisky. C'est comme ceux qui sont accrocs au coca. Vous voyez?

---

2) LES FEMMES

Je ne devrais pas, je le sais. Je m'en veux à chaque fois que mes lèvres touchent celles d'une autre femme. Même si elle est morte, j'ai toujours l'impression de la trahir, d'aller voir ailleurs, de rompre notre mariage. Mais j'ai besoin d'un contact féminin constant, une chaleur réconfortante. Chaque femme est différente et à mes yeux, elles représentent toutes des défis, des épreuves. Il n'y a rien de plus beau que le corps d'une femme et que je me sens tellement bien lorsque leur regard se pose sur moi et qu'elle sourit en me voyant à leur côté au petit matin.

1) LES ETUDES

C'est une chose que je n'ai jamais affectionné. Bien sûr, j'ai fais semblant du contraire pendant des années. Avec des parents comme les miens, il est très difficile de les rendre fières. Pendant des années je me suis donc fait passer quelqu'un que je n'étais pas en m'investissant des études qui me faisaient chier au plus haut point. Je suis au jour d'aujourd'hui, bien content de les avoir abandonné assez tôt, avant d'être embarqué en tant qu'avocat et de me faire chier derrière un bureau. J'ai toujours eu besoin d'action.

---

2) L'AMOUR

Ce mot me donne des frissons. Je ne peux regarder un film à l'eau de rose sans en avoir la nausée. Depuis trois ans, je ne supporte ni ce mot, ni ce qui s'en approche. J'évite tous les couples, toutes les discussions que mes amis veulent avoir sur mes nouvelles rencontres. Mais ma priorité est de ne pas surtout pas re-tomber sous le charme d'une demoiselle. J'évite maintenant toutes les femmes envers qui je pourrais, à long terme, être attiré.

---

3. LA PITIÉ

Vous savez, avec ce qui m'est arrivé, le regard des gens a énormément changé. Avant, j'étais vu comme... En fait j'étais pas vu du tout. J'étais quelqu'un comme tout le monde, un flic honnête, fils de riche au caractère bien trempé et marié à une femme superbe. Je passais donc inaperçu. Je n'ai jamais voulu être connu. Mais aujourd'hui, il n'y pas une seule fois où je peux rentrer dans une pièce sans que j'aperçoive rien qu'un visage me dévisageant. La haine ne me dérange pas. Le doute non plus. La pitié est le sentiment que je refuse de voir dans les regards. Si j'avais eu besoin de me faire plaindre, je n'aurais pas à tout prix cherché à me fondre dans la masse en sortant de taule. Donc retenez. Me plaindre sera la pire façon pour vous faire apprécier de ma petite personne.

1) PROTECTEUR

Il y a très peu de gens qui comptent à mes yeux. Je ne suis pas le genre de gars à montrer avec des mots ou des gestes, mon affection envers une personne. Fierté masculine ou expérience passée, je déteste les démonstrations excessives d'affection. La seule chose que je peux faire pour faire comprendre à ces personnes à quel point je tiens à elles, c'est les protéger. En prison, on apprend à se défendre, se battre, à ne pas baisser les yeux face à quelqu'un faisant deux fois notre hauteur. Je n'suis pas du genre à m'énerver facilement ou à répondre aux provocations. Mais toucher à quelqu'un que j'aime est la meilleure façon de me mettre hors de moi.

---

2) COURAGEUX

On m'a dit plusieurs fois que mon courage allait bien au-delà des limites. Je suis courageux, certes, mais je cherche à tout prix à ressentir l'adrénaline nécessaire pour faire battre mon cœur plus rapidement que la normal. C'est d'ailleurs la seule chose qui peut faire cet effet au jour d'aujourd'hui. On me reproche de me mettre trop souvent en danger. Notamment avec ma moto mais aussi avec mon métier. Je serais le premier à prendre l'affaire la plus dangereuse. Il n'est pas rare que je me retrouve à l'hôpital et en plus de ça, mon corps est couvert de plaies, toutes différentes les unes des autres.

---

3) SAGE

Ce n'est pas moi qui le dit. Je n'estime pas être plus sage que quelqu'un d'autre. Mais c'est bien souvent le surnom que l'on me donne. Le grand sage. Je n'aime pas vraiment ça. J'ai toujours été un garçon très turbulent, de l'enfance jusque la fin de l'adolescence. C'est en me mariant que je me suis calmé. Mais depuis mon retour en ville, il est vrai que je suis plus apte à réfléchir avant d'agir. J'examine toutes les situations, les conséquences, les dangers. On va dire que j'suis le bon gars si vous cherchez un conseiller.

---

4) FROID

On me qualifie de froid pas parce que je suis d'une nature plutôt solitaire ou qu'il est vrai que je me méfie énormément des gens que je connais pas. Mais regardez-moi attentivement, regardez plus particulièrement mes yeux, mes pupilles. Vous n'y verrez aucun sentiment. Je ne montre absolument pas ce que je ressens. C'est à force d'entraînement que j'ai réussi ce pseudo tour de passe passe, souhaitant que personne ne puisse lire en moi.